Te laisser partir, Clare Mackintosh

Quatrième de couverture :

Un soir de pluie à Bristol, un petit garçon est renversé par un chauffard qui prend la fuite. L’enquête démarre, mais atteint rapidement son point mort. Le capitaine Ray Stevens et son équipe n’ont aucune piste. Rien. Après cette nuit tragique, Jenna a tout quitté et trouvé refuge au pays de Galles, dans un cottage battu par les vents. Mais plus d’un an après les faits, Kate, une inspectrice de la criminelle, rouvre le dossier du délit de fuite. Et si l’instant qui a détruit tant de vies n’était pas le fait du hasard  ?

L’avis de Lunatic :

Dès le début du roman on est plongé dans l’horreur : le prologue nous fait assister au tragique accident qui fait perdre la vie à Jacob un petit garçon, la voiture qui l’a renversé prend la fuite, la mère crie sous la pluie. Sans trop en dire pour ne pas gâcher le roman, on assiste ensuite au déroulement de l’enquête pour retrouver l’identité du conducteur et à la fuite de Jenna, bouleversée par cet accident qui s’isole dans un petit village. Alors que l’enquête piétine sans témoins ni preuves, l’angoisse et la douleur de Jenna s’accroient.

Pour être franche, le début du roman m’a ennuyé, j’étais prête à l’arrêter. Je trouvais l’intrigue sans intérêt, c’était lent, puis à la page 229, l’auteur m’a mis une réelle claque. L’impression de m’être faite avoir depuis le début, je râlais, je m’énervais, et j’ai du feuilleter le livre depuis le début pour voir ce que j’avais bien pu louper (Cela montre à quel point c’est un roman réussi pour moi). La seconde partie du roman a alors pris une autre tournure, je devais savoir ce qui c’était réellement passé le soir de l’accident: l’ennui que j’avais ressenti laisse place à l’impatience, aux questionnements, j’étais happée par Jenna et son histoire. L’atmosphère du roman devient alors pesante, malsaine, dure et le dénouement que j’avais fini par présager conclut ce roman en beauté.

Ma notation :

 Une belle découverte. Vite le prochain

3 commentaires sur « Te laisser partir, Clare Mackintosh »

A vos claviers !